Le champ de SANGOMAR, une « culture » « intergénérationnelle »

“Aujourd’hui, et après plusieurs opérations de cession et d’acquisition, le champ de Sangomar est désormais détenu par un consortium composé de Woodside (82%) et Petrosen (12%)”, renseigne L’Observateur, évoquant “les grandes étapes de la longue marche vers le premier baril” sénégalais.

L’Observateur remonte depuis le contrat de recherche et de partage de production signé par Petrosen et Senegal Hunt Oil Compagny (SHOC), le 15 juillet 2004, pour mieux mettre en exergue “les dates marquantes d’une opération d’envergure qui a duré 20 ans”. “First-Oil, faste histoire”, peut-on ainsi lire à la une du même journal. 

“C’est l’aboutissement du travail de toute une génération”, réagit très justement l’ancien directeur général de Petrosen, Mamadou Faye, dans des propos relayés par le quotidien Le Soleil, lequel se fait également l’écho des engagements réitérés dans ce domaine par le président Bassirou Diomaye Faye.

Selon Le Soleil, le chef de l’Etat, réagissant sur sa page Facebook au démarrage de la production pétrolière au Sénégal, a assuré de “tout son engagement à sauvegarder les intérêts intergénérationnels et à veiller à une gestion transparente des richesses provenant des ressources naturelles”.

Le président exécutif de la Chambre africaine de l’énergie, Ayuk NJ, déclare de son côté l’avenir du Sénégal “est prometteur, mais nous ne pourrons l’assurer qu’en renforçant la législation, en préservant le caractère sacré des contrats, en favorisant un environnement propice, en soutenant le contenu local […]”.

source rts

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